Merci a la Daouno qui m’a arcoéilhut aÿmablomén, é aoutourizat a prénguer fotos.
E sustout, qu’am abut lou plasé de parlà gascoun amasso. Que m’a dit que li hasèwo plasé de parlà "patoués", mès que dempuÿ trent’ ans, ne n’a pas mey gwaÿre d’escasenços...

Pouylat (forme IGN) est aussi indiqué "Pouylac" à l’entrée du chemin.
La Daouno penche pour "Pouylac".
Cassini donne "Pouillac" !
Il y a à Mézin, donc pas loin, un autre Pouylac, que Cassini écrivait "Pouylac".

Pourtant, "Pouy lat" (colline large) me parait toujours une possibilité, et pas incompatible avec le relief local.
La prononciation d’une terminaison -ac en -at n’est pas non plus impossible. Elle est même systématique quelques km plus au nord...

Architecture :
La maison semble ancienne, à en juger par les fenêtres à meneaux.
Elle ressemble à une maison de "mèste", voire à une "maison forte", revue à la mode "chalet" des années 1900.

Histoire économique :
Le même matin et dans le même coin (Landes entre Réaup et Courbian, donc derniers km du massif landais), j’ai vu deux autres maisons qui semblent aussi des maisons de "mèste" : Le Tuco et Pelahaut.
D’où venait la richesse ? La plantation systématique en pins a dû avoir lieu vers 1880, un peu plus tard peut-être que dans le département des Landes où l’obligation a été faite par Napoléon III.
Est-ce l’amasse de la résine qui a amené de l’argent ?
Mais avant ? Le liège ?