Sur la gauche, une maison néo-pyrénéenne.
Entre Lourdes et Bagnères, on respecte assez l’architecture vernaculaire mais je regrette quand même que les entrepreneurs soient incapables de fournir des modèles respectant l’inclinaison du toit, généralement brisée en deux parties, qui est vraiment la marque identitaire du paysage béarno-bigourdan (on me fera remarquer que l’ancienne maison sur la droite n’est justement pas dans ce style, bon, c’est vrai, mais la toiture semble refaite).