Armagnac & Condomois Gascogne médiane

Gondrin

- Tederic Merger


 

Rue des Cornières

en graphie alibertine :

Las Cornièras + Las Cornèras + Los Cornalèrs
Prononcer respectivement "Las cournièros", "Las cournèros", "Lous (...)

cornèr / coin

Prononcer "cournè". Remarquer la similitude avec le mot anglais "corner" de (...)

Mise à jour avril 2019 :
 en gascon, cornière semble se dire cournalè (cornalèr).
 deux photos prises de la rue centrale de Gondrin, qui a ces cournalès. Sans doute la rue principale jadis, et maintenant sans aucun commerce, sauf un (j’y reviendrai). Elle a du charme, cette rue ; on s’y sent protégé. Peut-être que son heure reviendra.
 une photo de la vue de carte postale ancienne placée à l’entrée de la rue par la valeureuse association Belle Garde.
En regardant attentivement, on vérifie que les colombages n’étaient pas apparents.


 

Grans de sau

  • Je me rends compte que les deux photos que j’ai rajoutées pour illustrer le charme de cette rue "des cornières" (je viens de vérifier : c’est officiellement la "rue des Cornières" !) sont... tristes !
    C’est dû en partie au temps couvert, mais peut-être pas seulement. Les volets fermés, l’absence de passant ?

    Déjà que ma photo de 2005 - la première - était loupée (j’avais dû la retoucher parce qu’elle était trop sombre)... un mauvais sort s’acharne-t-il sur mes tentatives pour valoriser Gondrin ?
    Mais ne cédons pas à la sinistrose !

    Cette rue des Cornières devient, non loin de la mairie, la rue Rodolphe Molère, justement un ancien maire.
    Pour moi, c’est la même artère qui continue, et le seul commerce dont je signalais l’existence est exactement rue Rodolphe Molère.
    Il s’agit d’une médiathèque-artothèque avec une galerie d’art qui s’appelle GAG (Galerie Arthothèque Gondrin).

    Alors je suis perplexe :
     Je comprends bien que le tout-automobile a chassé les commerces et activités originelles de cette artère étroite.
     Les nouvelles activités qui s’installent rue des Cornières ne peuvent qu’être décalées du grand public.
     Mais une galerie d’art - qui présente certes des artistes de valeur - n’est-ce pas ici un peu hors-sol ? comment le voit l’habitant moyen de Gondrin ?
     Je sais aussi qu’une partie de la population de cette Gascogne armagnacaise est nouvelle, venue parfois de France du Nord ou d’Europe du Nord, n’a pas le même style de vie que la population d’origine, et saura peut-être arrebiscoulà* nos vieilles bourgades.

    *Arrébiscoula = revivre, faire revivre (arreviscolar) ; nom d’une association de Fourcés


Un gran de sau ?

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