Bonjour à tous,
En deux mots, car je n'ai pas le temps.
Cela soulève deux problèmes consonantiques : l'initiale et le -n final éventuel.
Pour la langue en général, j'y ai consacré plusieurs pages de ma thèse.
Pour la graphie, j'aboutis à ceci :
À l'initiale :
– graphie classique et moderne (=Gaston Phébus révisée) : si partout [∫] (ch), X- (et surtout pas sh-, très rare dans nos anciens textes); si [t∫] ou [tj] ou [∫] (tch, ty, ch) selon les lieux, CH-. Exemples : xivau / chavèca/chavèque.
À la finale :
– graphie classique : si [un] (oun) -ONT, -OND, -ONN, en principe selon l'étymologie; si [u] ou (ung) selon les lieux, -ON. Exemples : hont, pregond, conn / gascon;
– graphie moderne : si [un] (oun) -OUN; si [u] ou (ung) selon les lieux, -OÛN. Exemples : houn, pregoun, coun / gascoûn.
Hèt beroy,
J.L.
En deux mots, car je n'ai pas le temps.
Cela soulève deux problèmes consonantiques : l'initiale et le -n final éventuel.
Pour la langue en général, j'y ai consacré plusieurs pages de ma thèse.
Pour la graphie, j'aboutis à ceci :
À l'initiale :
– graphie classique et moderne (=Gaston Phébus révisée) : si partout [∫] (ch), X- (et surtout pas sh-, très rare dans nos anciens textes); si [t∫] ou [tj] ou [∫] (tch, ty, ch) selon les lieux, CH-. Exemples : xivau / chavèca/chavèque.
À la finale :
– graphie classique : si [un] (oun) -ONT, -OND, -ONN, en principe selon l'étymologie; si [u] ou (ung) selon les lieux, -ON. Exemples : hont, pregond, conn / gascon;
– graphie moderne : si [un] (oun) -OUN; si [u] ou (ung) selon les lieux, -OÛN. Exemples : houn, pregoun, coun / gascoûn.
Hèt beroy,
J.L.