Ecrit HOUN TREYNENTE sur le cadastre napoléonien ! C’est-à-dire source traînante, au faible débit. C’est en effet une rouille en contrebas de la D 120, au fond d’un vallon.

[ Complément d’informations : la Houn Treynente à proprement parler (la source) est située dans un buisson de bambous à flanc de coteau, au-dessus d’une gueyte. En ce moment (février) il y a beaucoup d’eau. Elle est ensuite canalisée sur 200 m le long de la pente et ressort par un tuyau dans le talweg, ce qui crée une seconde source ! Puis après un cours de 550 m, la rouille passe sous terre par une perte (pleine d’immondices). Après un cours hypogé de 100 m dans le calcaire à astéries (avec une doline), elle ressort par une résurgence pour encore 50 m à l’air libre avant de se jeter dans le ruisseau du Padouen. Le système perte-résurgence se voit sur le cadastre napoléonien. Remarque : ce que l’IGN appelle ’’Hout Reynente’’ semble être une autre source qui ne correspond pas à grand chose. ]