Saint-Seurin-de-Bourg
Prébeyring
Voici un toponyme qui semble montrer, cristallisé à l’écrit, un n gascon finalisé, dit "vélaire" !
Reste à comprendre le sens : la deuxième partie du mot semble être veirin, une forme masculine non-attestée dans les dictionnaire, mais oui en toponymie, de veiri(n)a "verrerie".
La première partie est-elle une francisation de prat "pré" ? Sens global de "pré où l’on travaille le verre" ?
La construction me semble trop complexe : Palay mentionne le verbe, qu’il note médoquin, prebèyre "prévoir", qui serait en normalisé prevèire. Du coup, aurions-nous le gérondif (que je reconstruis, sans savoir trop) preveirent "prévoyant" ? Dans ce cas, la finale -ing note ce qui s’écrirait plus communément -eing en français.
[FANTOIR : PREBERINGUE
Tederic M.]