Floirac
Tout y canto
en graphie alibertine :
Tot i canta
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"Tout y chante", mais la voyelle finale en -o marque clairement l’origine plus méridionale du premier propriétaire de la maison, là où un Bordelais écrivant en gascon local aurait écrit "Tout y cante".
Il peut donc s’agir d’un propriétaire originaire de Gascogne centrale, ou de l’ensemble Guyenne-Périgord, voire du Languedoc. Reste que la maison, comme un certain nombre de constructions du Haut-Floirac, autour de la rue de la Concorde, semble montrer une inspiration régionale landaise mais de pierre (fausse ?).