Après le bâton gascon (alias l’agulhe), soyons encore plus offensifs : intéressons-nous au couteau gascon (alias lou coutèth) !
Tè, que n’i a un qui s’apère mème "cotèth" (s’ils écrivent "lou", ils (...)
Après le bâton gascon (alias l’agulhe), soyons encore plus offensifs : intéressons-nous au couteau gascon (alias lou coutèth) !
Tè, que n’i a un qui s’apère mème "cotèth" (s’ils écrivent "lou", ils (...)
Marchés "de plein air", "de plein vent", marchés forains, marchés de détail... une chance pour la Gascogne, surtout la Gascogne rurale ?
Les marchés ont l’étrange capacité à regrouper une population de (...)
Conclusion en français :
Pourquoi les foires seraient-elles une chance pour la Gascogne ? Comme les marchés, parce qu’elles sont un circuit de commerce et d’animation alternatif, moins formaté que (...)
Emmanuel Delbousquet écrit ceci vers 1900 dans ses "Contes de la lande gasconne" : « Il y a trente ans à peine, ce désert de Pélebusoc où seuls quelques pâtres mènent leurs troupeaux, se couvrait trois (...)
Qu’es ua hèira, mès qu’es tanben ua hèsta entaus qui aiman la Gasconha pregonda... Elle a lieu, depuis des siècles, à la croisée de deux routes, en pleine forêt landaise, près d’une jolie "capère" (...)