Adixatz amics, Je partage tout à fait, et ce n’est pas d’aujourd’hui, le désenchantement profond de Philippe Lartigue. Je l’ai déjà dit, et je le répète au risque de paraître pénible, en ce qui concerne la Gascogne et sa langue ancestrale, les carottes sont cuites. Désormais l’intérêt que la (…)