Je relis ce que j’ai écrit il y a 4 ans. Le grand révolutionnaire vascon (de mes noix) ! Où l’enthousiasme devient grandiloquent et parfois même ridicule. Quelle emphase imbécile. J’ai tout de même honte, a posteriori, d’avoir osé afficher tant de bêtise. Je ne renie pas le fond du discours (…)