en graphie alibertine :
Peiruquèu

Probablement Peiruc + le suffixe "èu" ("éou" - "éw").
Ce suffixe est difficile à interpréter.
Le gascon transforme les finales occitanes "èl" en "èu" (ex : "macarèl" -> "macarèu").
Mais est-ce bien le cas dans les noms de lieu ou de famille comme Monèu* (Mounéou), Bertranèu (Bertranéou), Janèu (Janéou), Haouréou (Haurèu), Morèu (Mouréou), Gojatèu (Gouyatéou), Bernadèu, Hortèu (Hourteau)...?
Il faudrait rechercher l’existence en Languedoc des correspondants Bertranel, Janel, Faurel... Morel et Faurel existent.

Est-ce que le suffixe "èu" pourrait avoir dans certains cas une origine pré-latine ? On pense par exemple à la localité béarnaise d’Ogeu.

*apparemment un hypocoristique de "Ramon"

Variante(s) graphique(s) :

Peyruquéou


 


 

Un gran de sau ?

(identification facultative)

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