Benauge Entre-deux-Mers

Sainte-Croix-du-Mont / Senta Crotz deu Mont

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Maison néo-régionale des années 60-70


La maison se situe dans la montée vers Sainte-Croix depuis le hameau du Peyrat.

Elle est d’inspiration régionale, sans grande qualité architecturale, mais a le mérite d’une discrétion aimable, et surtout de rappeler les formes vernaculaires.

Portfolio

Vos commentaires

  • Le 20 novembre 2013 à 11:42, par Gaby Maison néo-régionale des années 60-70

    Je préfère voir une girondine en calcaire qu’une néo-landaise sur nos coteaux de Benauge !

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  • Le 21 novembre 2013 à 11:45, par Vincent P. Maison néo-régionale des années 60-70

    Pourtant, rien qu’au hameau du Peyrat, on trouve des maisons à façade sous pignon, comme un peu partout, en grande minorité évidemment, rive droite de la Garonne.

    Il ne s’agit pas d’une maison néo-landaise, mais néo-gasconne en somme. Le paysage girondin classique de pierre est une création qui n’a pas 150 ans et qui n’a pas nécessairement une prééminence sur l’ancien substrat architectural qui avait connu une renaissance inattendue lors des Trente Glorieuses.

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  • Le 26 novembre 2013 à 19:39, par Gaby Maison néo-régionale des années 60-70

    Evidemment que le paysage architectural girondin est récent, mais il est quand même d’ici (pas importé !) Et en plus, il est quand même assez ancien pour être intégré dans la "culture" locale (l’échoppe, les maisons à la Roque de Thau etc.).
    Tu dis qu’il n’a pas 150 ans, d’accord pour la maison girondine, aux formes carrées, de la banlieue de Bordeaux ou des villages de bord de fleuve, mais la maison de vigneron et ses dérivées plus riches datent au moins du XVIIIe (XVIIe ?). Je pense aussi aux chartreuses.
    Ces maisons sont en calcaire ; les carrières de Prignac et Marcamps, du Brannais, de Cambes, du Pays Macarien etc., sont typiques et l’extraction est parfois ancienne (en Bourgeais). On n’a pas plus local.
    Et si on les supprime (nous parlons de la rive droite), sans compter les bâtiments modernes, il reste quoi ? Une poignée de coucoutes ...
    C’est comme la vigne : elle a massivement remplacé ce qui était une forêt au Moyen Age (Entre 2 Mers...). Et pourtant, sans elle, l’identité paysagère du Bordelais en prendrait un coup. Autre exemple encore meilleur : sans le pignada du XIXe siècle, que serait l’image des Landes de Gascogne ?
    Je pense donc que si A est plus récent que B... il peut être au moins aussi légitime.

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