Etonament, c’est la revue bordelaise Le Festin (Morceaux choisis 198/2004) qui m’apprend qu’Hossegor a une devise et qu’elle est gasconne ; "M’as abisat, qu’es tu gahat". Le Festin la traduit mal : "tu m’as vue et tu m’as gardée" au lieu du plus direct et évocateur "tu m’as avisée et c’est toi (…)