Dans les chafres que Michel Larneuil s’amuse à donner aux nobles dans un passage de "Si l’Adour l’avait voulu", il y a « M. de Malestruc, le roi des maladroits ».
Dans les chafres que Michel Larneuil s’amuse à donner aux nobles dans un passage de "Si l’Adour l’avait voulu", il y a « M. de Malestruc, le roi des maladroits ».