Ce sont des sensations propres à ceux qui ont emprunté l’ancienne nationale de Toulouse à Bayonne (me concernant, dans ma toute petite enfance, je reste un adulte de l’autoroute A64), mais je me sens déjà "chez moi" sur les allées Charles-de-Fitte : l’appel des Pyrénées, ou du "Gers", c’est (…)


