Je ne nie pas qu’il y ait quelque gasconnade chez Garros. C’est vrai que je le respecte beaucoup. La découverte de ce texte, un soir, à la Bibliothèque de Bordeaux - j’avais 21 ans, je commençais ma Maîtrise - avait été pour moi comme un coup de tonnerre. Pour les frontons, j’en ai oublié un (…)