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En réponse à :

, par David Escarpit

Les scribes du Moyen-Age et de la Renaissance, c’est à dire en général des ecclésiastiques, étaient férus d’humanités greco-latines, ce qui leur permettait de très bien connaître les éthymologies des mots. A mon avis, il y avait alors bien plus encore que de nos jours un fossé entre la langue (…)