Quand j’ai vu cet objet délaissé au coeur du vieux Mézin, et justement devant ce qui a été une boulangerie, j’ai reconnu (en plus petit peut-être) un pétrin comme celui que j’avais vu dans le fournil de mon grand-père boulanger, et que ma mère avait en vain tenté de donner à quelque musée de (…)