Aucune envie de mon côté de voir le Bourgeais noyé dans des pavillons (que l’on voit poindre à Prignac-et-Marcamps en quantité), justement, ma mélancolie du train, c’est la possibilité de permettre aux gens qui travaillent à Bordeaux de vivre au cœur de Bourg, sans avoir à prendre leur voiture. (…)