Còr de Bearn

Saint-Abit

- Vincent P.


 

Fronton



 

Grans de sau

  • Le fronton date des années 2000, ce qui tend à prouver un renouveau de la pratique de ce sport en Béarn, Béarn dont les armoiries figurent sur le fronton, à défaut je suppose d’un blason pour la commune.
    Dans tous les cas, c’est un signe très fort de dynamisme identitaire dans une plaine de Nay qui se rurbanise sans grand sens béarnais.

  • Bravo Vincent, bonne analyse.
    Dommage que vous adoptiez (je m’adresse au blogueur en chef) la graphie de ceux dont vous souhaitez vous distinguer !
    À moins que je n’aie pas saisi le sens de votre démarche, auquel cas, tout va bien, continuez comme vous l’entendez, il y a de la place pour tout le monde et ne tenez pas compte de ma remarque !
    Permou que p’at couhèssi, lou bòste "Òc" que-m fout la prudère ! Het-pe-n de bounes !

    Réponse de Gasconha.com :
    N’i a hartèra/hartère d’aquesta/aqueste guerra/guerre de religio(u)n sus la grafia/grafie !

    La graphie alibertine, même si elle n’a pas été conçue prioritairement pour le gascon, lui convient assez bien et notamment le "a" atone qui permet d’englober les prononciations "o", "e", "a" et autres, qui existent en Gascogne.
    Il n’est pas incohérent d’utiliser la graphie alibertine et de critiquer l’occitanisme jacobin.
    Il est possible aussi de trouver de grandes qualités à la graphie alibertine tout en regrettant la rigidité ou l’irréalisme de certains de ceux qui la défendent.
    Enfin, Goalhart, votre phrase "lou bòste "Òc" que-m fout la prudère" laisse entrevoir que vous pensez qu’utiliser la graphie alibertine revient à s’exprimer dans une autre langue.
    Or "p’at couhèssi" ou v’ac con.hèssi (ou "vs’ac con.hèssi"&nbsp : ?) sont des mots d’une même langue, le gascon, mais notés dans des codes graphiques différents, plus ou moins étymologiques.



Un gran de sau ?

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