Je viens de trouver sur les registres paroissiaux de Larbey, le joli mot de confréresse pour le féminin de confrère, en fait il y avait des confréries religieuses et les femmes pouvaient en être membres, comme quoi les gascons, mêmes curés avaient des moments où ils n’étaient pas machistes, je trouve le mot plein de trouvailles, sonnant bien et plus beau que consoeur, j’aime à croire que c’est une formation proprement gasconne d’un mot français !
Dominique