Lo problèma de la sinhaletica bilinga

- Tederic Merger

Un debut d’estuda a d’esténder !

Voir en ligne : Lo problèma de la sinhaletica bilinga

Grans de sau

  • Je souscris pleinement aux analyses. Je les ai faites miennes depuis des années.
    On n’est pas en Oïlitanie quand les villages s’appellent Soumoulou ou Couquèques.

  • [Que deishi aci lo comentari qui n’a pas poscut passar suu sit ligat deu Sarmonèir : qu’estot considerat coma spam...]

    Que m’adui* damb tu, Sarmonèir !
    Au lòc de miar combats inutiles, perduts d’avança, o contra-productius, que caleré ciblar objectius ganhables e a potenciau pedagogic.
    Un exemple de cibla que prepausi : "La Junca" a Vilanava d’Ornon. (cercar "Maine dau Juncar" sus Gasconha.com)
    Aci, restablir simplament lo masculin ("Le Junca") que seré l’objectiu. N’es pas ganhat d’avança, mès n’es pas perdut... Un panèth "Lo Juncar" ne haré pas lo "job", a causa deus problemas qu’as mentavut.
    E la campanha d’explicacion que balharé l’escadença de parlar de noms de locs coma "lo Branar", "lo Piadar" etc...

    *"Que m’adui" = je suis d’accord (expression qu’èi apresa deu Halip Lartiga, esperi que l’utilizi com cau).

  • Les dangers du DIGRAPHISME ont été signalés ici même.

  • De tels panneaux font croire que le pays a toujours été bilingue, sinon à double population. Ils légitimeraient même en retour les formes les plus francisées et altérées.

    Les promoteurs des panneaux faussement bilingues savent que le bilinguisme signalétique est un attribut des "minorités" linguistiques et que la graphie adoptée fait signe politiquement.
    Ils s’en tiennent à leurs fantasmes graphiques. Dans la plupart des cas les panneaux digraphes sont des gadgets frappés du logo régional français (et de la croix toulousaine en plein Confolentais !).
    Ce n’est pas mieux en Provence avec les formes officielles doublées en ’mistralien’.

    En l’absence d’Etat fédéral occitan (et de besoin populaire) ou de quelque réforme topoymique d’ensemble d’un inexistante région ’Gascogne’, et compte tenu de ce qu’il n’y a pas d’académie de la langue incontestée, l’effort devait porter ailleurs et traduire une re/connaissance réelle du terrain.


Un gran de sau ?

(connexion facultative)

  • Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Ajouter un document

Dans la même rubrique :


 

Sommaire Noms & Lòcs