Còr de Bearn

Morlaàs


 
en graphie alibertine :

Morlans
Prononcer "Mourlàs". C’est une forme ancienne de la ville de Morlaas, remise (...)


 

Articles


 

Lòcs (lieux-dits = toponymie, paysage...) de Morlaàs :


 

 

 

Grans de sau

  • C’est le village de ma famille maternelle !
    Le Quartier des Fors est une assez belle réussite d’urbanisation pour cette commune désormais comprise dans la grande agglo paloise.

  • Lou qui a bis Mourlâs be pot dise : "Ay las !" = Quien ha visto Morlas bien puede decir : "Ay madre !"
    [Morlans à Donostia]

  • Les habitants de Morlaàs ont en effet mauvaise réputation, en partie justifiée, du moins l’ancien Morlaàs (car le caractère des villages, comme d’autres choses, s’évanouit).
    Mon préféré :
    "A Morlans, que t’envitan quan te’n vas".

    Pour ce qui est de la toponymie gasconne de Saint-Sébastien, elle est largement méconnue.

    Réponse de Gasconha.com :
    En tapant par exemple "Donostia gascon" sur yahoo.es ou google.es, on trouve des pages qui parlent du peuplement gascon de Saint-Sébastien.
    Notamment des pages du site officiel de la ville.
    C’est côté français que nous devons faire passer l’information, et Gasconha.com espère y contribuer.

  • Mais comment faire comprendre à l’heure de "Baiona" l’histoire gasconne de Saint-Sébastien indissociable de la "Bayoune" gasconne ?

    Réponse de Gasconha.com :
    Expliquer que Saint-Sébastien a été une colonie gasconne (bayonnaise) en pays basque implique que Bayonne était gasconne.
    Les deux choses peuvent être une révélation pour le profane...
    A ce sujet, Txillardegi, dont tu as créé le ligam, Vincent, dit cependant que le peuple bayonnais était basque (bascophone) et que c’est les élites qui étaient gasconophones, avant de passer au français.
    Cela dépend aussi, peut-être, de l’époque considérée, et d’ailleurs Txillardegi peut aussi se tromper (il interprète bien "La Réole" comme "Larre olla" ou quelque chose comme ça...).
    [Tederic]

  • Txillardegi a tort. Si l’on entend par peuple les "classes inférieures" d’une société, alors le peuple de Bayonne était gascon comme le prouvent sa langue, ses patronymes et ses affinités familiales (notamment sud-landaises et bas-aturines).
    Par contre, comme l’a prouvé Iglesias dans sa thèse sur le Bayonne du XVIIIème, on constate une proportion non négligeable de patronymes basques parmi les hautes sphères bayonnaises (professions libérales, ...).
    On peut en déduire probablement que les vieilles familles bayonnaises avaient leurs origines plutôt basques, peut-être des alentours immédiats du temps d’un Anglet bascophone, assez riche en vieux domaines dont le nom s’explique par le basque.
    Il faudrait faire une analyse au cas par cas.

    artxiker.ccsd.cnrs.fr

    Après, origine patronymique et langues sont deux choses différentes : personne n’a de trace d’un dialecte basque bayonnais et ce qu’il y a de toponymie basque à Bayonne est grosso-modo dans les mêmes proportions que la rive droite landaise. Et il n’y a pas non plus de patronymes basques bayonnais (au sens où un patronyme comme Suhas est avant tout bas-aturin, landais compris) alors qu’il existe des noms de famille gascons spécifiquement du BAB (Larrebat, Lulie-Tuquet, ...).

  • Comme le disait en 1991 Grosclaude, il semble bien que la finale de Morlaàs soit encore un peu nasalisée.

    www.youtube.com


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