Saint-Julien-en-Born / Sent Julian de Bòrn
Colette
Contis a, comme toutes les stations de la côte gasconne, participé au phénomène du néo-basque qui, à l’exception de l’enclave royannaise sous influence bordelaise, reste avant toute chose un phénomène proprement vascon, de la Cantabrie au Verdon, à tout le moins dans sa densité (on peut toujours trouver, ça et là en France, une maison néo-basque).
Reste que contrairement à des foyers de plus profonde néo-basquité, comme le Pyla ou Hossegor, ici, les noms des maisons balnéaires sont plus rarement basques ou gascons : Colette, un prénom féminin, cela manque d’originalité, même si l’on peut supposer que les premiers propriétaires avaient une bonne raison de nommer ainsi la maison.