Mérignac
Soumelanes / Somalanas
Le bout, le sommet des landes ? Lieu-dit disparu, situé en effet à la jonction du pinhadar et du marais. Ce nom de lieu figurait sur les anciennes cartes. Ua vista melhora ençò de Google Docs - enfin, que deuré estar melhora...., que la calerà afichar en causir un logiciau... prepausat per
David Escarpit
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Tederic Merger
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Lòcs de Mérignac :
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Un gran de sau ? |
Grans de sau
1. 20 juillet 2011, 09:11, par Tederic M.
Un lòc sauvatge a la pòrta de Merinhac.
Mès qu’a calut fotografiar au dessús d’un portau lèd, e virar l’esquia au paisatge lèd d’entrada de vila deu Camin long...
2. 20 juillet 2011, 19:18, par David
N’apparaît que dans une seule et unique source : la carte de Belleyme (années 1770).
Absent de la carte de Cassini.
3. 28 juillet 2011, 13:46, par Dàvid
Soumelane semble avoir été le nom d’une ou de plusieurs familles présentes dans le secteur de Mérignac au XVIIIe siècle.
Cinq actes de sépulture sont trouvables en ligne, se rapportant aux familles Soumelane (sans /s/), Laloubeyre et Moussa (ce dernier nom étant un chaffre).
Cette famille semble éteinte, et manifestement, le toponyme fut oublié par la suite. En tous cas, il n’apparaît déjà plus sur le cadastre napoléonien.
4. 28 juillet 2011, 13:47, par Dàvid
Les attestations de sépulture des Soumelane susnommés datent du règne de Louis XV, entre 1725 et 1765.
5. 28 octobre 2011, 10:58, par Vincent.P
Si le toponyme n’est pas d’importation patronymique, c’est une preuve que cette région a connu la simplification de -nd- intervocalique, comme le prouvaient déjà les nombreux toponymes type "brana" du Médoc et de l’Entre-Deux-Mers.
6. 23 novembre 2011, 18:34, par Gaby
Je lis ’Marinhac’. Pourquoi pas ’Merinhac’ ? De même, ’Prinhac’ pour ’Prenhac’.
Les vieux disent-ils ’Marinhac’ ?
Pourquoi vouloir tout défranciser pour se rapprocher de l’étymologie au lieu de suivre l’usage ?
7. 23 novembre 2011, 20:46, par Vincent.P
Il semble bien que les vieux disaient Marinhac.
La forme Merinhac serait un peu aberrante en gascon (matriniacum donne mayrinhac puis marinhac par simplification, mérignac est une réduction plutôt française de la diphtongue, non ?) mais si elle était en usage il faut la conserver.
8. 20 mai 2012, 19:44, par David
La forme Meyrignac apparaît ponctuellement dans les textes gascons du XIXe : ne pas oublier la fermeture de la diphtongue en /èy/ dans ce secteur.