Les Occitanistes

- Renaud

Une magnifique chanson de Nicolas Blaise intitulée : les Occitanistes.

https://www.youtube.com/watch?v=1qvyZwUDnb8

Voir en ligne : https://www.youtube.com/watch?v=1qv...

Grans de sau

  • Pour moi, cette chanson n’est pas magnifique, bien au contraire, quant au message qu’elle passe : les occitanistes, une "espèce" ridicule qui chante mal, qui crache sur le drapeau français, se prosterne devant le drapeau à la croix occitane, défend une langue morte, et veut se séparer de la France ?

    C’est en partie faux, en partie injuste, et je le ressens comme indigne : un jeune chanteur tourne en dérision un patriotisme qui n’a pas eu la chance de réussir historiquement ; il s’attaque à ceux qui ont le courage quand même de continuer un combat presque perdu. Bon, je me doutais déjà que la générosité n’était pas question d’âge.

    Selon moi, les occitanistes (gasconistes etc. : le méchant mépris du chanteur nous englobe implicitement) tentent de sauver [quelque chose de] la langue de leurs aïeux. C’est probablement irréaliste, mais respectable.

    Quant au drapeau : au moment de la coupe du monde de foot, beaucoup en France sortent le drapeau bleu-blanc-rouge ; Nicolas Blaise va-t-il chanter contre eux qu’ils se "prosternent" devant leur drapeau ? Ou le patriotisme français est-il le seul pour lui qui soit légitime sur le sol français ?

    Une faible lueur d’espoir : le chanteur est jeune ; peut-être comprendra-t-il plus tard, et la honte lui viendra-t-elle ? Il a l’accent occitan. Peut-être ne l’aura-t-il pas assez pour essuyer les moqueries que Michel Serres a subies même dans le monde universitaire ?

  • Il se moque du nationalisme occitan et ça fait du bien. Je rejoins cet homme là, que j’ai rencontré le we dernier, sur pas mal de points.

    "Une langue belle" dit-il, ce n’est pas une chanson de mépris contre la langue mais contre tout son folklore lourdeau.

    Il se moque de ceux qui disent "cracher" sur le drapeau français mais qui se prosternent devant une banière comme si les cons s’arrêtaient au delà d’une certaine limite. Moi, je trouve ça très bien.

    D’une manière générale, j’en ai juste marre, et franchement ça me mettrait presque en colère, que gascon ou occitan = pédagogique = éducatif = gentil = exemplarité... C’est le signe d’une mort certaine, ça...

    Il faudrait un Mc Jean Gab1 gascon, té !
    https://www.youtube.com/watch?v=iEmde73RO_g

  • Franchement ce garçon ne passera pas à la postérité avec cette chanson faiblarde qui tire un peu méchamment sur une ambulance (rappelons le lui :ça ne se fait pas !).
    Reste qu’il a sans doute un peu de talent et un certain sens comique ;à lui d’en faire quelque chose.Du reste il pourra peut-être redécouvrir que cette langue (l’occitan ? le gascon ? Je ne sais d’où il vient) n’est pas tout à fait morte et que la plupart de ceux qui la promeuvent(appelons les comme on voudra) ne crachent devant aucun drapeau (et en particulier pas le français,d’ailleurs).
    A moins qu’il ne fasse définitivement partie de la cohorte politiquement très correcte qui traite d’imbéciles heureux tous ceux qui sont "nés quelque part", y sont attachés et ne se résignent pas à disparaitre pour la plus grande gloire ,comme on voudra, de la francophonie, de la mondialisation, du monde sans frontières,etc...
    Avertissement salutaire tout de même (nous nous en doutions déjà un peu):défiler derrière un drapeau rouge à croix jaune est mauvais pour la santé !

  • Bon, après, je trouve pas ça génial, hein !
    Je pense qu’il parle des occitanistes type Jornalet, quoi, les vrais de vrai !
    E’m pensi aqueth òmi qu’es de l’Avairon.

  • N’y a-t-il pas du second degré dans ces paroles ? Mais reste à savoir en quelle proportion...

    Pour ma part, ce que je n’ai pas aimé, c’est qu’il ’’nous’’ considère comme des ultralocalistes. comme si on ne pouvait pas être à la fois attaché à son/ses lieu(x) d’origine et universaliste.

  • Il semble qu’il n’y ait pas grand chose sur lui depuis 2015 sur la toile...

    Quand je lis un commentaire "occitan" sur sudouest.fr à propos du gascon et du basque reconnus comme langues officielles par l’agglo Pays basque, je me dis qu’il n’a peut être pas tort :

    Anonyme39806...Il y a 5 jours - 23 juin 2018 à 21h15
    l’Euskara et l’Occitan ça n’a jamais été le gascon...c’est l’Occitan.à Canne on parle l’occitan,à Toulouse on parle l’occitan et non le toulousain,dans la vallées d’Ossau on parle l’Occitan.
    en France on parle le Français,en Walonie on parle le Français (pas le Beige)en Suisse on parle Français et non le Suisse,au Quebec on parle le Français ...et ainsi de suite.Le Gazcon n’existe pas c’est l’OCCITAN

  • Médiocre.

    Que les défenseurs des cultures dites "régionales" ne soient pas toujours convaincants ni efficaces, bon, cela peut entraîner des railleries. S’est-on assez moqué du pseudo-folklore, des accents de cinéma, des pagnolades (sans avoir lu Pagnol), etc. Mais la France et surtout les élites méridionales nous ont-elles laissé d’autre choix que des ersatz ?

    On a moins rigolé des bombes du FLB en 1966 et de la cave d’Aleria en 1975.
    Si on est fort, on supporte et on passe outre.

    Il y a cinquante ans la mode médiatique autorisée par certains milieux parisiens (profondément étrangers à l’Occitanie) était au "droit à la différence", tarte à la crème pour désamorcer les questions sérieuses.

    Nous sommes aujourd’hui dans l’obligation d’indifférence et dans le devoir de dénigrement. Il y a beaucoup de façons de faire passer cette façon de voir, qui n’est pas nouvelle. Cette chansonnette est un symptôme parmi d’autres du malaise français, de ce masochisme tourné contre les faibles alors que les élites régionales mériteraient bien pis.
    Cible facile, choisie par quelle suggestion ?

    La langue morte, cela fait des siècles qu’on nous fait le coup. Voir Victor Hugo : "parlant une langue morte, ce qui est faire habiter une tombe à sa pensée..." (Quatre-vingt-treize).

    Quant au drapeau français, nos anciens le respectaient. Peut-être l’était-il alors ? Il y a bien longtemps.

  • Peut on rire de tout ? Sans doute pas ou alors il faut être extrêmement bon ...
    Peut on rire de l’Occitanie ? OUI bien sûr surtout quand on est sois même Occitan , et encore plus si on l’est pas .
    On peut rire de cette Occitanie qui nous casse les pieds avec son drapeau ,ses cathares ,ses hymnes à la noix . Vacciné au sérum de troubadour , nourris aux diplômes ,à l’hormone du martyre Albigeois : qui voit le Gascon par le petit bout de la lorgnette et dont l’unique fonction est de l’éradiquer comme dans le commentaire relevé dans " Sud Ouest " ...Oui on peut en rire ,car il y a de quoi en pleurer .

  • Cette chanson fera rigoler les antioccitanistes les plus acharnés. Mais ils ne se rendent pas compte que l’auteur englobe également dans son mépris (et sa gerbe) les béarnistes/gasconnistes antioccitanistes. S’il n’en parle pas c’est qu’il ne les connait pas...

    Il y a un nationalisme occitan, très marginal (la plupart des occitanistes sont des militants culturels). Mais il y a également un nationalisme français jacobiniste bien vivace celui-ci. Celui qui nous raconte que la France est le seul pays de la francophonie où on ne parle que le français. Qu’il n’y a qu’un peuple, qu’une identité et qu’une culture française, celle de l’Ile-de-France bien sûr...
    Je devrais le trouver méprisable, je ne fais que le plaindre...
    Et cette chanson élude complètement ce nationalisme-là, ou du moins son auteur fait le choix, très courageusement, de se mettre à l’abri du nationalisme franchimand (le plus fort) pour taper sur les identités les plus affaiblies, tout en se donnant un faux air de rebellitude (je me la joue à la Brassens, sauf que Brassens, lui, avait du talent...).

  • Savoir rire de ses propres ridicules est très sain. Sachons rire des nôtres le cas échéant.
    Mais apprécierions-nous que le même chanteur ait appelé sa chanson "les gasconistes" avec à peu près les mêmes paroles et un autre drapeau ?
    Mais c’est vrai que nous n’assommons pas les gens depuis cinquante ans avec l’équivalent des cathares ou je ne sais quoi de même farine. Il faudra être vigilants à ce sujet quand même !

  • Adishatz a tots,

    Peut on rire et se "truffer" de tout ...oui et heureusement, on a encore cette chance ici bas.
    Ce jeune homme attaque l’occitanisme en général et en particulier, s’il a n’a envie pourquoi pas...
    Par contre son humour est un peu ringard et facile à mon goût, de plus pour un artiste qui ce sert d’un instrument, il faudrait déjà qu’il apprenne a accorder sa guitare, la corde sol sonne très faux...par égard au public qui j’espère n’as pas payé pour entendre ça.
    De plus la musique choisie par ce jeune homme est typiquement gasconne et un tantinet basque : les septs sauts, je pense qu’il ne connait pas la ni la danse ni la musique ni la signification de ce saut béarnais et souletin, il préfère la chanter d’une façon grossière et ridicule...libre à lui.

    Ce garçon en général que je ne connait pas s’il continue sur ce genre d’humour ne fera pas une grande carrière sauf si certains chanteurs béarnais lui donne des cours de chants ou lui apprenne à accorder un instrument...
    Renaud avec tout le respect que je te dois tu aurait pu te dispenser de commentaires élogieux à l’égard de ce garçon car ce qu’il chante et joue c’est une sinistre brolha insipide et sans beaucoup d’humour.
    Il ne faut pas par contre qu’il vienne faire un show en Béarn avec ce genre de chanson sauf s’il aime le danger...

    Ce n’est que mon avis...
    coraument
    miqueu arrosères

  • Bon. Content que ça vous plaise !

    Quand je disais "magnifique", c’était aussi ironique. Je trouve ça rigolo. Surtout le début sur la musique trad. Après, c’est vrai que c’est un peu cliché de se moquer du pseudo imbécile attaché à son clocher.

    Enfin, bon, j’ai mis ça comme ça, hé, je lui voue pas un culte !!

    [Oui Renaud, ça nous plait énormément. Tu as visé juste !
    Ah, tu ne te prosternes pas devant le cantairòt ?
    Tederic M. qui abuse de son profil d’admin]

  • @Gerard
    C’est une chose de ne pas aimer l’occitanisme et ses symboles, mais là on n’est pas dans l’humour.
    L’auteur conchie allègrement les défenseurs des langues régionales en s’abritant sous le parapluie du nationalisme franchimand. C’est mesquin et, disons-le, assez lâche...

  • Au tour des Occitanistes de subir les railleries dont on accabla le Félibrige de jadis (gnan-gnan). Pas de lieu de s’en réjouir.
    En arrière-fond, le syndrôme du déracinement franchimand, dont les Français d’Oïl ont été victimes eux aussi.

    Alors, chanson gentillette d’un brave garçon ?
    La cible : les "amoureux du clocher".
    Ou c’est un cliché assez niais ou c’est vraiment pensé.
    Dans les deux cas, cela indique que certains réflexes sont morts dans la population.

  • 13.ltrobat. Je n’approuve pas plus que vous ( se m’atz plan legit).

  • Je ne suis plus un fan de l’occitanisme depuis pas mal de lunes, mais je ne trouve rien de "magnifique" dans cette chanson qui se voudrait humoristique mais qui n’en a que l’air.
    L’histoire de l’imbécile heureux qui est né quelque part, c’est tout simplement bête et méchant. L’air de pipeau du mondialisme et du cosmopolitisme heureux qui se cache derrière ça relève d’une utopie chimérique qui n’est pas plus brillante que l’occitanisme.
    Autrement dit, c’est l’histoire de l’hôpital qui se moque de l’infirmerie, ou de l’ambulance en l’occurrence.

  • Disputes autour d’un cercueil, dans l’ignorance totale de l’héritage, historique et culturel ; et celui des Gascons n’est pas celui des Toulousains, ni celui des Provençaux, etc. Du moins cela a-t-il été l’occasion de plusieurs réactions de bon sens !

    Mais l’une au moins, pour pertinente qu’elle fût sur le fond, pèche par de nombreuses fautes d’orthographe, voire de français (l’analyse de « s’il a n’a envie » ne donne aucun sens, il faut lire « s’il en a envie »). Dommage !

  • Franchement, histoire d’en remettre une couche, à part les allusions au clocher qui peuvent être mal prises, pas parce que tu aimes ton clocher que tu ne comprends rien au monde, je vous trouve très sévère avec cette chanson... comme une bête blessée qui se défend...

    Surtout, je pense que vous donnez à cet homme des intentions qui ne sont pas les siennes :
     Oui, il y a une tripotée de cons qui accompagne cette langue.
     Oui, l’herbe est pour pas mal de militants, toujours plus belle chez nous. Il n’y a qu’à voir les articles types Jornalet, "célébrités occitanes".
     Oui, il y a des gens absolument fermés au monde qui ne s’interessent qu’à "çò de son"
     Oui, le milieu trad peut être absolument désolant de petitesse
     Non, je ne pense pas qu’il soit dans une posture mondialiste débile. On peut être d’ici et de partout, en aimant son pays, sans tout lui passer pour autant. "Tot n’ei pas blanc, tot n’ei pas negre" comme dirait l’autre.

    Je pense qu’il devait avoir quelques comptes à régler et c’est pas mal fait, selon moi.

    Ouai, c’est méchant mais c’est bien aussi, méchant. Et tirer sur l’ambulance, bé si on aime pas l’ambulancier, on peut toujours le faire...

    Anèm, ne me’n vúlhitz pas mes francament aquí, n’èm pas ad ua.

  • Bon,Renaud ,peut-être connais-tu ce chanteur mieux que nous ne le connaissons(je n’en avais jamais entendu parler et subodore qu’il avait peut-être des comptes à régler,comme tu dis) .
    Mais quand tu interprète l’unanimité de ceux qui trouvent cette chanson pas terrible dans son fond comme dans sa forme par une réaction de "bête blessée qui se défend",là tu galèges un peu !Je me sens d’autant moins blessé que je ne me considère nullement comme occitaniste en ce qui me concerne.Et je ne suis sans doute pas le seul sans compter que certains occitanistes peuvent mal se reconnaitre dans la bête blessée !Ils font comme nous,ils essaient de semer en étant bien incertains de la récolte.
    Pour le reste,je n’en sais rien:la ligne éditoriale implicite de Jornalet n’étant pas ma tasse de thé je ne le lis jamais sauf lors de rares jours d’ennui très profond et le milieu "trad" ne se confond nullement avec l’occitanisme.Bref oublions cet intéressant jeune homme tant qu’il n’ a pas pondu quelque chose de meilleur(allons,ça pourrait venir !).

  • Bo, ne’u coneishi pas, desgais s’èi escambiat 4 mòts dab eth. Mes qu’as reson, que se’n trufan !

  • J’ai écouté la chanson attentivement, et n’ai pas eu encore l’occasion de répondre dans le cadre du débat animé qui a eu lieu ici même.

    Je dois dire que la critique de l’occitanisme est tout à fait nécessaire, voire salvatrice, et je comprends largement que l’on puisse être irrité par certains tics du milieu occitaniste, qui se comprend aisément par une sociologie de groupe connue (le tropisme enseignant, notamment). Ajoutons, parfois, marginalement, une certaine mignardise rêveuse.

    Mais là où je trouve que la charge tombe à côté de la plaque, c’est qu’elle entend faire des "occitanistes" un groupuscule identitaire, comme si l’Occitanie était le Pays Basque. Nous ne devons pas avoir les mêmes occitanistes alors ! C’est bien tout le contraire que je serais tenté de reprocher aux occitanistes : un manque de véritable engagement territorial, de pensée locale, articulée, pour défaire les dogmes républicanissimes français.

    Si j’avais dû moquer les occitanistes, je l’aurais fait sous un tout autre angle, celui de gens qui n’assument pas l’existence d’un peuple qu’ils sont supposés défendre et se noient, parfois, dans l’universalisme niais, la langue comme seul instrument de diversité au lieu d’être le symbole du pays et de ses gens.

    Bien au contraire, dans cette chanson, la critique semble s’adresser à ceux qui sont nés quelque part, du Brassens v2, un peu moins talentueux, ceux qui osent, sur la base d’une langue qu’il ne coûte rien de dire belle, identifier une nation, ou en tout cas, chercher à aller contre le rouleau-compresseur uniformisant français.

    Le sous-entendu de la diatribe, c’est que seul le français permet d’accéder à l’universel et à la sagesse, tandis qu’est dévoyée une belle langue (morte, évidemment, d’ailleurs sa beauté c’est partiellement qu’elle est morte) pour de bas motifs provinciaux et rances. Le fond du message n’est donc pas tout à fait sympathique, pour ceux qui pensent que naître ou vivre au pied des Pyrénées ou sur les bords de Garonne, ce n’est pas la même chose que dans les plaines de Flandre ou les côtes bretonnes.

  • Je suis globalement d’accord avec Vincent.
    Les antioccitanistes rabiques qui se réjouissent de cette chanson feraient bien d’en écouter attentivement les paroles.
    L’auteur crache sa gerbe sur tout ce qui, en France, ne parle pas français, a un accent qui n’est pas franchimand et est attaché à une culture qui n’est pas celle que Paris considère comme étant universelle. Il pourrait chanter la même chose à l’encontre des gasconnistes antioccitanises, des béarnistes de l’IBG s’il en connaissait l’existence...
    Ce type est l’idiot utile d’un nationalisme qui considère qu’en France on ne parle que le français, qu’il n’y a qu’un seul peuple, une seule culture et qu’il convient, pour réussir dans le spectacle, la politique ou les médias de se défaire d’un accent un peu trop marqué...
    En plus on ne peut pas dire que ce soit particulièrement courageux comme posture. Tout juste le répépiage des lieux communs de la pensée dominante.

  • Je rejoins ceux qui ne trouvent rien de sensationnel à cette chanson.
    Les deux derniers intervenants, Vincent et Itrobat, ont exprimé avec pertinence les raisons pour lesquelles cet émule de Brassens (en moins bon) est à côté de la plaque. Ses "occitanistes" pourraient être aussi bien quiconque ne se réjouit pas qu’en quelques décennies des langues patrimoniales aient pratiquement disparu.
    Je ne voudrais pas passer pour raciste, ce qui est très facile de nos jours, mais les encenseurs de la langue française comme langue unique ne mouftent généralement pas lorsque sur nos marchés, dans les rues et les grandes surfaces des langues venues d’ailleurs se font entendre de manière sonore alors que dans le même temps on n’entend plus depuis pas mal de temps nos anciennes langues ancestrales.
    Ce qui vient d’ailleurs est toujours positif. Le masochisme français n’est pas une vue de l’esprit.

  • Cette chanson est faiblarde, ce garçon règle vraisemblablement des comptes mais sans grand talent.
    Les occitanistes sont parfois insupportables, comme par exemple ceux du Jornalet qui sont une espèce de synthèse, comme disait Audiard.
    Il y a d’autres biais pour critiquer certains leaders dogmatiques et certains aspects pénibles de cette doctrine mais là, c’est vraiment mauvais.

  • C’est vrai que le talent de nos jours, ça ne court pas les rues bien qu’on nous montre souvent à la télé le tout dernier "grand" artiste ou "grand" humoriste qui vient d’être dégoté par on ne sait quel manipulateur ou quelle manipulatrice en vue.
    Les chansons de Brassens comportaient parfois des paroles d’un goût discutable, mais c’était toujours chanté avec talent par cet artiste.
    Quant au Jornalet auquel il est fait allusion dans le message précédent, c’est évident que son contenu n’est pas de nature à crédibiliser le discours des occitanistes. Mais après tout, le déni de la réalité est une chose bon chic bon genre de nos jours.

  • Un pauc de tienguda mosenhurs.
    La racalha duhòrt !


Un gran de sau ?

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