Je suis pour les émotions sensorielles comme base de l’identité. Les paysages, l’accent, même le physique des gens parfois. L’exotisme comme la familiarité sont fondés sur cette matrice.
Aussi, je crois qu’il est important, avec toute l’amitié, parfois l’amour, que l’on peut avoir pour les Charentais, de faire entendre la langue de la contrée, de la Saintonge et d’une partie de l’Angoumois.
[]