Los Pagalhós

- Tederic Merger

Prononcer "Lous Pagaillous".
Très bon groupe, foi de Gasconha.com !

Voir en ligne : Los Pagalhós

Grans de sau

  • Oui, ils sont très forts. Et Hami de Víver est l’une des plus belles chansons béarnaises.

  • Vraiment un groupe qui sait chanter et avec les chants traditionnels cela fait chaud au coeur ; même si je suis du Médoc, je suis a 100% los Pagaillós.

  • E òc, un grop deus bons, la canta "la sobirana" qu’es un bon tèxte pedagogic....

  • Le monsieur avec la chemise jaune sans veste c’est mon prof. de bearnais !

  • E ÓC que son plan braves e qu’an lo plom de diser hort ço qui pensan, çò qui n’èi pas tostemps plan vist dens lo "mondillo" occitaniste.

  • "Faim de vivre" c’est super !
    Maintenant je vais ecouter le dernier !!! la sobirano

  • Je me permets de réïtérer : que disent-ils tout fort que les autres occitanistes pensent tout bas, svp ?

    Réponse de Gasconha.com :
    Ah, Txatti, sès tròp curiós !

  • UA RESPONSA A TXATTI PERMOR QUE I A UN MOMENT QU’em harta... tostemps arronganhar de cap a tot, mes on es ? ne t’ei pas jamei vist en nad loc on se devarraba quauquare sus era nosta lengua.
    Que hes partit de tot aqueth monde puden enterprese de demolicion enta tots tot dia que tribajan enta transmete nosta lengua, calandretas, capoc,..
    Que soi pagalhos e vertat sus l’empon que cantam, mes tanben que disem que hem partits de l’Occitania e que denonciam l’esperit mashant e con de monde com per exemple l’institut bearnais gascon vieilhs mei dengeros que con malurosamen.

  • Ah lala... L’occitanie. Qu’es ako ? Bé tèh ! Qu’es ua gent de Pau qui parla en lengadocian !

     :)I-<

  • L’occitanista paulès que parla lengadocian en plaça deu biarnés n’existeish pas sonque dens l’imaginacion de quauques conas de l’IBG...

  • C’était une image bien sûr. N’empêche que... L’enseignement "occitan" de la fac de Pau est carrément occitaniste (en lien avec Reclams), voire extrémiste : "le peuple français a terrassé le peuple occitan", "la France obscure a envahi l’Occitanie lumineuse".
    Et je caricature même pas. C’est que du biaisé, du faux historique, de l’amalgame, et même un peu de méchanceté.

  • La Sobirana, es un imne occitan.
    Bearn s’espandis pas "dempuish l’Aup italiana", si ? E ajoti qu’es un cap d’òbra.

  • Parce qu’effectivement la France a merveilleusement respecté ses langues et cultures régionales. Surtout dans le Sud.

  • Ce n’est pas la France qui vient interdire dans l’intimité familiale de parler "patois".
    Il faut revenir parfois à des notions moins abstraites de responsabilité individuelle, en l’espèce celle des nombreux Gascons de l’après-guerre, qui n’ont pas transmis leur langue.
    On peut discuter circonstances atténuantes dans un second temps, et seulement à ce stade, la "France" intervient.

    A propos de la Sobirana, je trouve cela très caractéristique de ce qui ne va pas dans l’occitanisme, qu’un hymne occitan ne soit au fond qu’un hymne de la langue dite occitane.
    Parfois je me demande si les Occitans sont capables de chanter l’Occitanie, ses paysages, ses gens. La connaissent-ils même ?

    Je lis les paroles de la Sobirana : on parle de villes, de monts, de landes. Ce qui est un peu stéréotypé.
    A peine deux indications géographiques : les Alpes italiennes (un jour il faudra que les Occitans prennent une carte et constatent que ces vallées sont totalement ouvertes sur le Piémont, donc comme frontière, c’est pas top) et la "Mar Grana", qui au grand mieux a inspiré le seul Manciet depuis 60 ans.
    Le reste ? Millénarisme linguistique, prosopopée féminine, éloge de la servitude, ...

  • Sès dur Vincenç.
    La personificacion mairau mei que feminina d’una tèrra a ren d’estonant. Es tanben l’imatge que me ven a jo tanben.
    Pensi que la servitud dont parlas aqui es pas la mèsma que volut abàter La Boétie, es puslèu una metafòra de l’abandon e de se e dau don ligat a l’amor.
    Se poiré puslèu parlar de hè dens un sens judeò-crestian. Mès tot aquò, ec sabes. Te deishis pas darrigar l’evidéncia de davant los ulhs perqué de la malicia...

  • Bonjour,

    C’est vrai, la France n’a pas respecté les langues et les cultures des territoires conquis ou annexés.
    Mais c’est le sens de l’Histoire, vae victis !
    Si le peuple soumis n’a pas de fierté, pas d’honneur, pas envie de se battre, alors il mérite de disparaître.
    Je ne sais plus quel révolutionnaire disait, avant de monter sur l’échafaud, que la liberté n’est pas un droit inaliénable et qu’on ne la mérite que si on est est capable de la défendre.
    C’est la raison pour laquelle j’ai un immense respect et une grande admiration pour nos frères basques, qui ont traversé les millénaires.
    On peut leur reprocher bien des choses, je dis qu’ils ont les qualités de leurs défauts.
    Je pense que la bascophobie sous-jacente et mal assumée du mouvement occitaniste ou du félibrige est due à un constat d’échec mal digéré, à de l’aigreur teintée de jalousie.
    Avec le félibrige et l’occitanisme, certains gascons nous ont embarqués sur le mauvais navire, très mauvais choix stratégique dont nous n’avons pas encore fini de payer la très lourde addition, j’entends notre disparition.
    Que ne nous sommes nous tournés vers nos cousins germains basques !!!
    Quelle erreur historique !!!
    Nous avons choisi la mièvrerie méridionaliste, le blablabla des couilles molles, et nous allons mourir à cause de ça. L’heure du mea culpa félibréen et occitaniste a sonnée.
    Mais les criminels, par définition, n’avouent jamais leur crime ni ne reconnaissent leurs errements.

  • Criminels ! ? Mon Dieu, j’étais en forme ce jour là. Un peu excessif tout de même.


Un gran de sau ?

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