La Dame de Gascogne Conservatoire du Patrimoine de Gascogne

La Daune / La Dame de Gascogne sur fond rouge
L’adoption d’un drapeau régional de la Gascogne, porteur d’un symbole simple et original, exprimant les fondamentaux communs aux Gascons de l’Est et de l’Ouest, est devenue une nécessité.
Ce symbole existe.
La Dame de Brassempouy, statuette sculptée il y a 25000 ans, découverte sur ce site archéologique des Landes de Gascogne, est la première représentation au monde d’un visage humain.
Chef-d’œuvre connu dans le monde entier, cet objet d’art est un remarquable témoin de nos origines, de notre culture et de notre structure sociale spécifique, émanant d’une certaine forme de matriarcat*.
Ce visage de femme semble prédestiné à devenir la Dame de Gascogne, figure emblématique de notre région historique ; déjà une haute personnalité culturelle nationale nous y encourage.
L’illustration expérimentale ci-jointe, qui peut être éventuellement modifiée, a pris pour modèle le profil de la Dame à la capuche, réalisé d’après le dessin deson principal inventeur : Édouard Piette.
* Isaure GRATACOS.« Il a existé [ et ] il existe encore des structures sociales et culturelles qui ont donné à la femme un rôle inconnu dans le reste de l’Europe ».
Femmes pyrénéennes, un statut social exceptionnel en Europe, éd. Privat, Toulouse, 1998.
Conservatoire du Patrimoine de Gascogne


L’adoption d’un drapeau régional de la Gascogne, porteur d’un symbole simple et original, exprimant les fondamentaux communs aux Gascons de l’Est et del’Ouest, est devenue une nécessité.

Ce symbole existe.
La Dame de Brassempouy, statuette sculptée il y a 25000 ans, découverte sur ce site archéologique des Landes de Gascogne, est la première représentation au monde d’un visage humain.
Chef-d’œuvre connu dans le monde entier, cet objet d’art est un remarquable témoin de nos origines, de notre culture et de notre structure sociale spécifique, émanant d’une certaine forme de matriarcat*.
Ce visage de femme semble prédestiné à devenir la Dame de Gascogne, figure emblématique de notre région historique ; déjà une haute personnalité culturelle nationale nous y encourage.

L’illustration expérimentale ci-jointe, qui peut être éventuellement modifiée, a pris pour modèle le profil de la Dame à la capuche, réalisé d’après le dessin deson principal inventeur : Édouard Piette.

* Isaure GRATACOS.« Il a existé [ et ] il existe encore des structures sociales et culturelles qui ont donné à la femme un rôle inconnu dans le reste de l’Europe ».
Femmes pyrénéennes, un statut social exceptionnel en Europe, éd. Privat, Toulouse, 1998.

Grans de sau

  • Elle habite Paris désormais et il lui faudra de nombreuses années avant de redescendre.

  • M. Vincent P. devrait savoir qu’elle n’est pas la seule gasconne à être à Paris où elles illustrent notre région !

  • Pour être utilisée en drapeau, non je ne pense pas.
    Mais peut-être que parrallèlement... on peut en faire quelque chose.
    Un autocollant avec écrit, en bas, faisant un demi cercle au tour de la tête : culture Gasconne.

    Ou autre !

  • Vous parlez des vaches gasconnes lors du Salon de l’Agriculture ?
    Malheureusement, elles sont surtout originaires du Pays de Foix et de l’Aude.

  • Vincent P. illustre bien ce mauvais esprit gascon qui, par un malin plaisir, choisit très mal ses cibles en s’excitant sur ceux qui, contrairement à lui, cherchent à valoriser la Gascogne plutôt que d’en ridiculiser les richesses du patrimoine.

    Réponse de Gasconha.com :
    Vincent.P ne mérite pas cette diatribe, même si sa dernière plaisanterie est vacharde.
    Ses nombreuses contributions, très documentées et argumentées, à Gasconha.com (voir par exemple les "lòcs", dont il est ces derniers temps le principal pourvoyeur) montre qu’il aime le patrimoine gascon, et qu’il observe avec sagacité les avanies que les gascons (et les autres) lui infligent.
    Certes, il montre aussi, parfois, un esprit paradoxal, excessif et joueur...
    Mais la "Dame de Gascogne" aura, dans sa tentative de retour sur la scène gasconne, après 25 000 ans d’absence, à affronter plus méchant et moins avisé que Vincent.P !-)

  • Si l’idée d’un visage pour emblème peut apparaître singulière, elle n’a rien de farfelue.
    Les Corses n’en ont-ils pas un sur leur drapeau ?
    La Dame de Brassempouy est une oeuvre d’art exceptionnelle qui fut qualifiée de "Joconde de la Préhistoire".
    C’est le premier visage représenté au Monde ! Comment les Gascons pourraient-ils rester indifférents à ce symbole unique qui place leur pays n°1 mondial en matière d’antériorité, tant sur le plan figuratif qu’artistique ?

  • À propos de la tête du blason et de la bannière corses : Les "têtes de Maure", quatre à la Sardaigne et une à la Corse, rappellent la victoire du roi d’Aragon à Alcoraz contre les envahisseurs musulmans (mais elles apparaissent bien plus tard).
    En Sardaigne elles flanquent une croix de Saint-Georges rouge. Ces trophées sont une sorte d’avertissement.
    Ne pourrait-on poser la question : "Qu’est-ce que les Vascons et Gascons de jadis auraient bien pu couper à leurs envahisseurs, qui puisse figurer avantageusement sur un écu ou un drapeau ?"


Un gran de sau ?

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