Croix composite pour la Gascogne, sur fond écartelé rouge et bleu Tederic

Croix composite pour la Gascogne, sur fond écartelé rouge et bleu
Tederic M.

Grans de sau

  • Mettre un trident = neptune = mer

  • A force de tordre le cerveau pour trouver un drapeau, certains vont péter une durite.
    Ha ! il peuvent rigoler les "franchimands" quant ils se baladent sur le site.

    Réponse de Gasconha.com :
    Si certains rigolent de cette recherche, ils ont tort !
    Il est bon de chercher un emblème, dès lors qu’on a un projet commun.
    Ici, le projet commun, c’est la Gascogne...

  • Avant de faire un drapeau, il serait bon de se mobiliser pour lutter contre cette nouvelle forme de colonisation qu’est la "rurbanité".

    Nos lieux dits sont supprimés car il font trop "paysans" pour une population issue des centres urbains et qui prend nos campagnes pour des aires de jeux.
    A terme, c’est la disparition de tout un mode de vie.
    Je ne pense pas que la "rurbanité" soit un remède au renouveau gascon de nos campagnes.
    Dans mon secteur (50KMS de Bordeaux), les nouveaux venus débaptisent les hameaux et mettent des noms "français".
    Les conseils municipaux sont aussi composé de "rurbains" qui appliquent en milieu rural leur mode de vie.
    Je suis trés inquiet pour l’avenir du gascon et de la "gasconité".
    Alors un drapeau cela ne me semble pas essentiel, ne nous trompons pas de combat !

    Réponse de Gasconha.com :
    On ne peut trancher la question en trois lignes...
    Mès totun...
    Pour se faire respecter, il faut être visible et que la vision soit valorisante.*
    Aux rurbains que vous redoutez, il faut montrer que la Gascogne existe, qu’elle a une langue, qui a fait les noms qu’ils dédaignent.
    Il faut les faire rêver... de Gascogne.
    Alors, ils respecteront nos noms de lieux et s’intègreront à nos campagnes, en apportant leur culture, qui peut aussi avoir quelque valeur.

    Bien sûr, c’est tout un programme, et ce ne sera pas simple... Aussi parce que le mode de vie traditionnel se fissure de l’intérieur, sans même l’invasion des rurbains.

    Maintenant, on peut aussi vouloir stopper la rurbanisation. Mais alors, c’est le coeur du fonctionnement de notre société qu’on met en question...

    *Les basques l’ont bien compris. Leurs drapeaux et couleurs sont partout, et ils savent 1000 fois mieux que nous défendre leur langue et leurs noms de lieu, et en créer de nouveaux... Les deux choses ne sont donc pas contradictoires !


  • Il y a qqes années les chemins ont été baptisés dans les petits villages, avec panneaux de "rues" à l’appui, à la demande de La Poste je crois...
    Ces chemins avaient déjà tous un nom usuel Gascon, Béarnais, Occitan (comme vous voulez :).
    Ces noms traditionnels et fort anciens d’ailleurs apparaissent sur les cadastres.
    Au lieu d’apposer des panneaux avec les noms traditionnels, on a alors vu apparaitre des "rue des tilleuls" "rue de hêtres" etc... bien franchimans.
    J’appelle ça un massacre, une insulte à notre terre et à notre culture.
    Quelle honte !!! au Pays Basque ça ne se passe pas comme ça.
    Je me demande si je vais pas demander la naturalisation Basque :)))
    C’est quand même par là aussi que s’éteint une culture.....
    Que soi triste de tot aco....

    Réponse de Gasconha.com :
    D’accord sur tout, sauf sur la demande de naturalisation Basque !-)
    Pour arrêter le massacre, pas d’autres solution que de convaincre nos concitoyens gascons, béarnais, Occitans..., que ces noms portent notre histoire, et sonnent plus vrai.

  • Je trouve intéressante l’idée d’une croix dont chaque branche est affectée d’une valeur en accord avec les directions de l’espace et qui explicite la situation ’symbolique’ de la ’Gasconha Grana’.


Un gran de sau ?

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