A partir de la crotz "en sautoir" blanc que donet lo papa en 1188 a la Gasconha. Joan-Francés Blanc

A partir de la crotz "en sautoir" blanc que donet lo papa en 1188 a la Gasconha
Joan-Francés Blanc

Grans de sau

  • Sembla drapèth que se troberen joenas nacions d’Africa o isclonas caraibencas que les Britanics lors balheren l’independencia ha trenta annadas.
    Mès despreci pas las cuates colors blau blanc rotge e aur qu’aiman Gascons qui (tà le màger nombre) son Francès e Occitans.

  • Ara qu’aprengui qu’un Papa balhec un drapèth a Gasconha, fòrça modern en aquèra epòca, qu’a aspectes de banèras de la isclòtas que la Bretanha Grana lors balhec independencia ha un trentenat d’ans, dins Caraiba !
    Mès unish las cuates colors de França e d’Occitania, qu’ès polit !

  • Joli , mais un peu papouasie !!! et toujours inspiration Britannique !!?
    Why ? ah ! quand la Gascogne était anglaise !!!
    Diubiban aquets inglishes que compren totes la beras maiso !!! :)))

  • 1188 : aucune trace d’une sanction papale d’un fait existant ni d’une innovation politique médiévale : le texte de Roger de Hoveden ne mentionne que les croix des Français, des Anglais et des Flamands.

  • Pas de croix attribuée aux Gascons par le Pape. Mais cela ne retire rien à la pertinence du drapeau au sautoir blanc sur fond rouge (XXe s.) que l’on rencontre sur Internet comme "drapeau gascon". C’est à mon avis le plus approprié.

  • C’est aussi mon avis mais tant qu’une parie au moins ds Gascons ne se l’approprie pas ,ce sera un voeux pieux.Du reste,je suis frappé de voir qu’en de nombreuses occasions où on aurait imaginer voir surgir un drapeau "régional",quel qu’il soit, du côté gascon,c’est assez mort.Le cas actuel le plus révélateur est celui des Gilets jaunes.Alors qu’ils représentent une forme d’attachement à des terroirs et qu’on puisse voir des drapeaux de diverses régions brandis ici ou là par des manifestants, en pays gascon, on voit seulement des drapeaux tricolores plus parfois des basques ou des corses !Une fois, en visite à Toulouse après Noel j’ai vu un écartelé gascon brandi par les manifestants (venus sans doute de de la "petite Gascogne") dans le centre de la ville.Mais je n’ai sans doute pas toujours tout vu ;d’autres font-ils une autre constatation ?

  • Mon constat est qu’il n’y a pas de réel sentiment d’identité gasconne.
    "On est" béarnais, landais, bigourdans etc... mais on ne réclame pas d’être gascon.
    A choisir je préfère encore le drapeau traditionnel de la Gascogne.

  • Il existe encore un sentiment ’’ d’être Gascon ’’ , plus à la campagne qu’en ville , plus dans des parçans ’’ oubliés ’’ par la civilisation comme l’Astarac par exemple que ceux qui sont devenus des zones dortoirs proches des grandes et moyennes villes , plus chez les anciens que chez les jeunes ...
    On a encore de bonne surprise , des personnes qui se disent spontanément ’’ Gascon ’’ , mais cela devient rare , comme les derniers locuteurs naturels ...
    Il est urgent d’agir , la propagande des nouvelles régions , l’Occitanie ,Sud-Ouest, le SUD et le Midi ne nous font pas de cadeaux .

  • Je suis moins sûr que toi,Pierre, en ce qui concerne l’Astarac.Un livre -reportage("Les déssaisis") publié il y a une dizaine d’années et dont j’avais parlé déjà sur ce site relatait la vie d’un gros bourg de l’Astarac ,étalée sur presque une année.Toutes les conversations de l’auteur(Gérard Desportes) aves les habitants du cru les montrait un peu déracinés sur place ("déssaisis",quoi...) et souvent d’origine italienne ;guère de gasconité là-dessous bien que le journaliste ,parisien, n’ait sans doute guère cherché à creuser de ce côté là.La gasconité , bien souvent, ne se laissse pas repérer au premier regard(ou à la première bannière !)

  • Hilh de puta, un drapèu de mei ! :-)
    Lèu lèu que n’i va aver un de diferent tà cada gascon...

  • Il aurait suffi d’une équipe de 6 à 10 personnes avec un drapeau "pan-gascon", visibles dans les défilés (puisque c’est de propagande qu’il s’agit). Si possible distribuant un tract sur la mort des campagnes et l’aliénation du Gers à la région dite Occ-e et appelant à la réforme des "territoires". Bref, c’est ue question de stratégie de communication.
    D’abord amorcer la pompe.
    Mais il faut être sur place.


Un gran de sau ?

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