Je m’étonne, une fois de plus, de l’attitude de ceux qui glorifient la tuile et la pierre, enfin tout ce qui rappelle un passé souvent contestable à une époque où les progrès techniques permettent de réaliser toute forme innovante d’architecture.
Ce n’est pas au nom du respect de l’environnement que l’on décide de l’esthétique des choses et que l’on progresse : c’est ce qui m’a fait dire, au risque de n’être pas du tout compris, qu’il aurait été aussi absurde de conserver la forme d’une calèche à une voiture tractée par un moteur.
Le principe de se fondre dans le cadre environnant, nous sommes nombreux à le combattre : que diriez-vous d’une ville entière construite dans le même esprit nouveau que Frugès ou dans une autre forme plus adaptée à notre époque plus récente encore ?
Que deviendrait le problème du respect de l’environnement ?
Soyons créatifs.
Un admirateur de l’homme Le Corbusier.