Bonjour, Adishatz/Adixat,

Du message "A countre-briu" de Jean Lafitte je relève le passage suivant :

>Ce n'est pas la reconnaissance des langues
>régionales qui est une « atteinte intolérable à l'unité nationale »
>comme l'écrit Daniel Séré, mais tout le parti qu'en tireront les
>agitateurs régionalistes patentés.

Ce passage laisserait à penser à quiconque n'aurait pas lu mes messages précédents que je suis réfractaire à la reconnaissance des langues régionales que je considèrerais comme "une atteinte intolérable à l'unité nationale".

Or, voici ce que j'ai exactement écrit, le 17 juin, si j'ai bonne mémoire, à propos des réactions des gens du "machin" :

>Ils nous l'ont fait le coup de l'atteinte intolérable à l'unité nationale.

Ce qui est tout de même un autre son de cloche.

Après cette petite mais indispensable mise au point, je n'en reste pas
moins en désaccord sur ce point avec Jean Lafitte. Ce n'est pas parce
que des échauffés du bulbe pourraient tirer parti de cette
reconnaissance qu'il faille donner raison aux diplodocus du monde
politique, ni davantage à leurs contemporains de la docte Académie. Au
fait, combien coûte tout leur aimable et archaïque folklore au
contribuable ?... Certainement beaucoup trop par les temps qui courent.

Amistats.

Daniel