Je reste marqué par une thèse de Grosclaude père, comme quoi l’on ne migrait pas depuis une grande ville vers un village, de telle sorte que les toponymes prenant le nom d’une de ces grandes villes étaient impossibles. C’est loin d’être le cas, et Toulouse comme Bordeaux, ont pu nommer des personnes comme des maisons.

Ici, le cadastre napoléonien mentionne bien "Toulouse" pour cette maison, non loin du château de Laàs.